•  CHAPITRE 4: rencontre mystérieuse

    Elle s’était levée de bonheur, regardent cette petite fille coucher dans ses bras, cette enfant lui remonté le morale, la laissent sourire quelque foie seul, symbole de joie, Liliana remerciais le chapitre 4ciel de lui avoir confié Camille, grâce à elle sa vie s’est transformais, elle n’est plus seul, quelqu'un attend son retour, lui sourie, lui parle, ne serais-se que la regarder avec ses yeux scintillons lui prélever un nouveau souffle, « je te protègerais Camille, tu ne sera jamais seul, et personne ne te fera aucun male » elle prononça ses quelque parole pour ensuite se levée et se préparer.

    Il est à présent midi, Liliana et Camille sortent de la clinique, et se dirigent vers le parc à coté de sa maison, la petite joue alors que l’ainée s’assied tranquillement sur le bond, de ses yeux brun elle semble transperçais le palet devant elle, il est grandiose et des plus beau, mais à sa vue, elle ne peut rien décelais d’autre que le drapeau si trouvent, elle ne voie même pas sa couleur, et maudit le roi qui s’y abrite, réussira t’elle un jour à réaliser sa vengeance ?, et si c’est le cas, en sera-t-elle plus contente ? qu’es qu’elle y gagnera ?, au fend elle ne veut commettre aucun meurtre, mais elle ne trouver aucune autre solution, temps qu’il est la, le malheur restera, ragent de devoir mettre ses principe de coté, à la simple vus de sa photo ou son armée, la gentille Liliana disparais et laisse place à la rancœur du passé.

    Extirpais de ses pensée par des cris, elle remarqua soudain derrière elle, au loin, une courte poursuite, ses sourcils se fronce, elle appellent Camille et lui demande d’aller s’abritais à la maison, comme prétexte, une course urgente à faire, la petite sans trop posé de question partit, Liliana la suivais du regard jusqu’à se qu’elle pénètre la chaumière abandonné, elle posa alors ses yeux sur les quatre poursuivent qui semblais être des gardes du palet pour ensuite regarder celui qu’en pourchassé, elle ne le reconnaissais pas, l’avent jamais vus au par avent, il porté une capuche qui dissimulais les trais de son visage, elle ne se posa pas de question, ouvris son sac et mis un manteau noir pour se dissimulais, et partit en courent pour prendre un raccourci, elle arriva là-bas et attendit, « c’est la seul route par ou il peut passé, des qu’ils arrivent je le tire et l’entraine loin de ses coxs » pensa elle dans un langage pas des plus correcte, pas moins de vingt seconde plus tard, Liliana pus confirmé ses pensée, l’homme qui courais de ses derniers souffle fus pris par la jeune fille, la surprise se lisais sur son visage alors qu’elle le plaka contre une porte et lui demanda de ne plus bouger, enlevais sa veste, pour laisser découvrir ses cheveux et sortit de la ruelle, elle s’allongea par terre et commença à lancer des injures vers l’autre coté d’où se trouver la victime de la pourchasse, qui ne comprenais absolument rien, les gardes arrivèrent, la voyant criais, elle fis semblent de ne pas les avoir remarquer, et se leva en dépoussièrent sa robe, en continuent à regarder l’autre coté et dit : « mais quelle impolie, il ma bousculer en courent et il ne se retourne même pas, franchement, IMPOLIE » cria t’elle vers l’horizon, les gardes comprirent immédiatement et partir en courent vers l’opposé de la ruelle ou se trouver celui qu’il traquer, Liliana sourie diaboliquement « oui se sent réellement des coxs » confirmait elle ses pensé à voie basse pour ne pas que les sujet de cette insulte l’entende mais assez fort pour laisser le réfugier en rire, elle s’approcha ensuite de lui

    « et bien tu la échappais belle, un peut plus et il t’attraper, ta eu de la chance que je t’ai remarquer »

    L’homme enleva sa capuche et laissa apparaitre son visage, Liliana comme à son habitude détailla alors chacun de ses trais des cheveux rouge sang et des yeux gris métallique qui sembler pouvoir vous percez à jour, ses joue étais rosi sans doute à cause de la course qu’il à entrepris, des épaules larges, des bras musclé, en deviner sous la chemise blanche qu’il portait plusieurs tablette de chocolat parfaitement dessiné,  cette foie elle en étais persuadé,  jusque la elle ne l’avait encore jamais vus, comment cela se fait il ?, je connais pourtant tous le monde de vue, elle fus coupé de ses pensée par le jeune homme, qui souriez d’un air narquois et amusé face au yeux baladeur de la jeune fille sur son corps

    « et bien ne t’attend pas à se que je te remercie, je ne t’ai jamais demander de l’aide, de plus ….. tu ne pourrais pas arrêter de me fixé, je sais que je suis un dieu mais qu’en même »

    Liliana devenus rouge pivoine face à la remarque du jeune homme et dit en balbutient : « un….mais….quoi ?, non…mais », un soupire sortit de sa bouche et elle se ressaisi avent de dire : « et bien es que tu pourrais en moins me donné ton nom ? »

    « castiel, je suis castiel, ravie de faire ta connaissance, et toi ? »chapitre 4 

    « et bien moi, c’est Liliana, tout aussi enchanté, eh, enfaite….. Pourquoi les gardes te courais après »

    D’un coup son corps se tendis, « visiblement il n’avait pas envie de rependre à cette question » se dit la jeune fille, et c’étais le cas puisqu’il ne dit rien et se contenta de fronçais les sourcilles, Liliana n’insista pas, elle lui dit au revoir mais avent de partir, il lui attrapa le bras en lui demandent ou elle habitais : « je n’ai pas de domicile fixe, mais i tu me cherche tu peut me trouver chez la clinique de la ville » rependit elle simplement avent de repartir vers la maison pour rejoindre Camille

    Point de vue Castiel :

    Cette fille qui est-elle ? Pas de domicile fixe ?! JE PEUX LA TROUVAIS A LA CLINIQUE ?!, quoi qu’il en soie, elle est vraiment canon, ressaisi toi Castiel, la tu ne peut plus faire le con, mais je ne sais pas j’ai l’impression de l’avoir déjà vus mais ou, heureusement qu’elle n’à pas insister, qui je suis ?, personne ne doit le savoir à par Lysandre, sinon sa risque je jaser pour moi, bon je dois vite trouver ou dormir se soir

     

     


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  • le compte à rebours est lancée dans trois heur première  surprise, voici pour vous dans 2 h et 58 minutes un one shot sous le nom de : "a la recherche du bonheur", 


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  • je me réveille en sur sceau, qu'es que c'étais, un simple rêve, c'est sa, sa ne peut pas être réel, je voie un mot posé sur la table de chevé à mes cotés, ma main tremble ne me dite pas, je le prend doucement telle le plus précieux de tous les trésor, j'ai peur de la froisser, de découvrir que son contenus à changer, que cette feuille est vide, je fini par ouvrir doucement les yeux que j'avais préalablement fermé, la relis, non, c'est bien vrais, je la serre contre ma poitrine mon rêve viens de se réaliser, jamais je n'aurais pensée que sa marcherais, si mais c'étais si compliquer, je me lève en courant et décent les marche d’escalier en rafale jusqu'à n'en plus pouvoir, devant moi se dresse deux personnes, je me jette à leur coup, oh notre première rencontre jamais je n'aurais pensée qu'on se retrouver ainsi

    flache back:

    je m'appelle melina, à ma naissance, je n'étais pas seul, oui j'avais une jumelle, une jumelle que j'aurais aimer, chérie, avec la qu'elle j'aurais aimer vivre toute ma vie mais qui malheureusement ma quitté, elle est morte durent l’accouchement à cesser de respirer, peut être que c'est pour sa que parfois je me sent si seul, comme si quelque chose manquiez en moi, comme si ma vie n'avais aucun sens je n'arrive pas à m'attacher au autre, à faire comme tous le monde, simplement rentré dans une classe et abordé quelqu'un avec une seul phrase, c'est sans doute pour sa que je n'ai aucun ami, voir quelqu'un parler aussi facilement au autre me rend jalouse comment font ils, quelle est cette état d’esprits dans le quelle je n'arrive pas à me fendre, j'ai déménager dans cette ville pour essayer de changer, je vais tenté le tous pour le tous, sa ne peut pas continué comme sa, se manque, cette timidité, l'envie constante de savoir ou je vais, tous sa va finir par me tué .

    je décent du train donc voici ma nouvelle vile, je me force à l'observer ne serais-se qu'un peut, je veux absolument changer et c'est mon seul moyen d'y arriver, très vite malgré les réticence de mon cerveau, mes pensés finissent par se lassé, le temps passe de moins en moins vite et une nouvelle foie comme à mon habitude je me laisse tenté par le train sans retour vers le monde imaginaire que je me suis crée.

    le taxi me dépose à mon appartement, j'y entre, mes parents en bien voulu me l'offrir, pendant un ans, ils vent m'envoyer de l'argent mais juste après je devrais me débrouiller seul, des demain c'est la rentré au lycée je suis en terminale section lettre, j'aime écrire sa me détend, et c'est le seul moyen que j'ai pour faire partager mes sentiments sans aucune crainte c'est pour sa que je passe mes journée à écrire des histoires toutes aussi inimaginable les unes que les autres, mon rêve est bien c'est le plus simple et modeste du monde (ironie) je voudrais devenir la plus grande romancière de tous les temps et j'y arriverais sans doute un jour.

    je me lève et stoppe d'un geste bien défini l'objet de ma torture matinale, le réveil, j'ai l' impression qu'il me nargue et bien oui c'est quoi ses manière?, me réveiller à six heur du matin, je me lève a moitié endormi et me précipite sous la douche ou je peut enfin souffler, je m'habille  de mon uniforme qui j'avoue trouve assez jolie, entièrement de couleur blanche et violette, une tartine de nutella, et direction le lycée Christina. 

    à mon arriver une porte grille métallique me salue, je suis à l’avance, je voie le concierge qui arrive, il va sans doute m'ouvrir la porte, c'est se qu'il à fais, sans prendre la peine d'attendre, je m’engouffre dans la cour, à la recherche d'un ban, il n'y a que quelque élève et la cour se remplis rapidement, des groupe se forme et ainsi de suite, et moi et bun je les regarde de mon coins, en me demandent comment une nouvelle sortit de nul part va pouvoir se fréller un chemin parmi tous ses visage qui se connaissent déjà, je suis telle un poisson rouge au milieux du désert .

    Les deux premières heurs en passé, l’envie de suivre le cour n’y est pas, je me défoule sur une feuille blanche, écris mes pensée, pour ensuite me laisser porter vers le fantastique, des raguons viennent, mon prince charment qui n’existe que dans mes pensées  vole à mon secoure, je pleure dans les bras d’une meilleur amie, j’ai une sœur magnifique avec la qu’elle je partage tous oui sa c’est exactement la vie que je voudrais, une vie complètement contraire à celle que j’ai.

    J’étais perdu dans mes écris lorsque je sentis un regard pesais sur moi, je tourne machinalement la tête, la fille se trouvent à mes cotés me fixe en sourient, de long cheveux brun, de grand yeux bleu, une taille fine, elle est sublime mais semble comme intrigué, par quoi ?, je ne sais pas, elle fini par ouvrir la bouche et me dit doucement : « salut moi c’est Alexandra, mais appelle moi alex, et toi c’est quoi ton nom ? »

    Un sourire timide se dessine su mon visage, j’ai décidé de changer alors peut être que je pourrais avoir en moins une amie : « Mélina » dis-je simplement, je ne savais pas trop quoi dire mais elle a continué à me sourire pour ensuite commençais par me sortir un long monologue, j’étais un peut choquer, mais en même temps c’étais sympa, l’une des plus longues conversations jamais tenus de ma vie, cette fille est une vrais pipelette, elle me parle un peut des élèves de la classe, les uns après les autres, je l’écoute jusqu’à se que le professeur commence à nous foudroyer du regard. Après sa j’a recommençais à écrire, Alex ma regardais pour ensuite me glisser une feuille, je la pris et lis se qui avais d’inscrit dessus : « es que tu veux bien me montré se que tu écris ? »Réticente au début je fini par lui passer mon cahier, c’étais la première foie que quelqu'un aller voir se que j’écrivais, et j’avais peur de la réaction qu’elle allais avoir

     

    A la fin de l’heur, je regardai celle qui n’avais plus dis un mot depuis un moment, elle me fixa alors des paillettes dans les yeux : « tu es vraiment doué » me dit elle en se jettent sur moi, cette fille je ne la comprends pas mais alors vraiment pas, tous se que je sais, sais que la elle me fait du bien et je suis vraiment contente de l'avoir rencontré.

    la pose midi elle me proposa de me joindre à elle et son frère pour manger, se que j'accepte sans hésitation, et c'est ainsi que j'ai rencontré marc, son frère, il  ressemble assez à sa sœur, des cheveux brun, avec de beaux yeux marron qui semble pouvoir vous percer à jour, il à un véritable corps d’Apollon, dès que je les vus mon cœur à raté un bon, j'ai rougie au maximum pour la première foie de ma vie, et Alex me regarda du coin de l’œil avec un sourire qui cache  bien des pensée.

    fin du flache back:

    qui aurais pensée à se moment la que deux ans après j'en serais la, après avoir dépassé un ans, Alex et Marc sent venus s’installer avec moi,  en est devenus super proche, et un jour je me suis confié à marc sur la nature de mes sentiments il ma rependu en un baiser partager,  et vous vous demander sans doute se qu'étais la lettre de se matin et bien j'avais participé à un concoure, le premier pris étais la publication de son livre et je les gagner, ma sœur j’espère que tu es fière de moi j'ai réussi à trouver des êtres chère à mon cœur, repose en paix.

     


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